Il est maintenant urgent que les négociations pour finaliser la convention État-Région sur les langues régionales aboutissent. Nous souhaitons que le Président Loig Chesnais Girard reprenne la main pour apaiser les échanges et s’inscrire dans une démarche constructive sans esprit polémique.
L’État quant à lui doit clarifier sa position : soit il prône la différenciation, ce qui implique la reconnaissance de la spécificité bretonne, soit il défend l’égalité républicaine et il doit donner aux Bretons a minima ce qu’il a déjà accordé aux Basques.
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